Peut-on faire ses courses pour vivre ?
Es-tu prête pour le prochain chapitre de mon histoire ?!! Rencontre Sylvie en Terminale (oui, j'étais assez âgée pour avoir été en Terminale). Elle a de meilleurs cheveux que Sylvie en Troisième (tu vois, je te l'avais dit) et elle est aussi un peu sortie de sa coquille. C'est presque la fin de l'année scolaire et elle est excitée à l'idée du bal et de pouvoir enfin porter cette robe à laquelle elle a obsessionnellement pensé pendant des mois (je la trouve toujours aussi géniale, soit dit en passant))
Ce qu'elle n'attendait pas avec impatience, c'était d'aller à l'université. Parce qu'elle est intelligente, on lui a dit qu'elle devrait faire quelque chose de scientifique ou de mathématique dans la vie. Sauf que Sylvie en a déjà assez de ces deux domaines. Uh oh. 
Quelques mois après son entrée à l'université et deux cours abandonnés plus tard (ouais, je parle de toi Physique et Programmation C++ !), une amie (Salut Kelly !) lui pose une question qui lui fait réfléchir : que ferait-elle si elle pouvait vraiment faire *n'importe quoi* ? Laissons de côté le fait que Sylvie n'aurait pas pu rêver aussi loin sans être encouragée par quelqu'un d'autre et allons directement à sa réponse ; comme elle est une petite maligne, Sylvie lève les yeux au ciel et dit « Je ferais du shopping ! ». Et tu sais, parfois, il est bon d'être honnête, car à ce moment-là, on lui a fait remarquer qu'il existait un métier d'acheteur de mode pour un magasin. Esprit. Explosé. Un an plus tard, elle était à Toronto dans un programme de marketing Mode & Cosmétiques à Humber College. Mais ne t'inquiète pas. Elle a apporté sa réserve de baume à lèvres 
Quelques mois après son entrée à l'université et deux cours abandonnés plus tard (ouais, je parle de toi Physique et Programmation C++ !), une amie (Salut Kelly !) lui pose une question qui lui fait réfléchir : que ferait-elle si elle pouvait vraiment faire *n'importe quoi* ? Laissons de côté le fait que Sylvie n'aurait pas pu rêver aussi loin sans être encouragée par quelqu'un d'autre et allons directement à sa réponse ; comme elle est une petite maligne, Sylvie lève les yeux au ciel et dit « Je ferais du shopping ! ». Et tu sais, parfois, il est bon d'être honnête, car à ce moment-là, on lui a fait remarquer qu'il existait un métier d'acheteur de mode pour un magasin. Esprit. Explosé. Un an plus tard, elle était à Toronto dans un programme de marketing Mode & Cosmétiques à Humber College. Mais ne t'inquiète pas. Elle a apporté sa réserve de baume à lèvres 
